Articles Tagués ‘darcos’

biciclette(Mise à jour 27/05)

Ces deux événements n’ont bien entendu rien à voir, ce ne sont que des coïncidences, des téléscopages d’actualité… Au moment où près de Bordeaux, à Floirac, deux enfants de 6 et 10 ans ont été cueillis à l’école par la police qui les a interrogé 2 heures pour un vol de bicyclette (une info de Sud Ouest), le sous-commandant Darcos continuait d’amuser la galerie avec son nième « plan antiviolence »… (suite…)

BE1D logo2Les services de l’éducation nationale de l’Isère ont quelques problèmes de recrutement avec leurs directeurs d’école. Au début du mois, Jean-Yves Le Gall, directeur de l’école primaire d’un petit village du sud de l’Isère, passait en conseil de discipline [1] parce qu’il refuse toujours de remplir le fameux fichier base élèves. Il risque tout simplement de perdre son poste de directeur. Qu’à cela ne tienne, il ne reste plus qu’à recruter des remplaçants un peu plus dociles. [Article mis à jour le 3 mars, voir en fin de page]. (suite…)

Les placards et les caves des écoles primaires de France cachent de dangereux individus ces temps-ci. La maréchaussée s’invite de temps à autre dans les cours d’école pour voir si « tout va bien », si les évaluations en CM2 ne sont pas perturbées par des parents hargneux, si l’abandon des RASED ne fait pas trop de bruit, si le fichier base élèves ne menace pas trop la sûreté de l’Etat… Dormez tranquille. Les réformes Darcos sont sous bonne garde. (suite…)

Jacques Michon est un blagueur… Comme la plupart des dizaines de milliers de maires de France, il a reçu un bien curieux courrier de l’Inspecteur de l’éducation nationale (IEN) de sa circonscription. Jacques Michon est maire de Waziers, dans le Nord, en périphérie de Douai.

L'IA de Nantes en appelle aux retraités de l'éducation

L'IA de Nantes en appelle aux retraités de l'éducation

Nous reproduisons ci-contre l’une de ces missives envoyées par les différents rectorats à d’anciens salariés de l’EN, en premier lieu à « Mmes et MM. les enseignants du 1er dégré partis en retraite en 2006, 2007 et 2008 ». Elle émane de l’inspection académique de Loire-Atlantiques, mais la consigne est nationale: du beau langage technocratique pour faire appel aux « réservistes » de l’éducation afin de remplacer les grévistes. On se cache derrière la fameuse loi du 20 août 2008 sur le service minimum (à l’école on l’a rebaptisé « service d’accueil ») pour discréditer les mouvements sociaux. Car, c’est bien connu, rien de mieux qu’une loi pour que la sentence du Grand Conducator Sarko —« quand une grève se déclenche, personne ne s’en rends compte »…— devienne devise républicaine.

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